New York, mai 2009,six morts violentes se succèdent en quelques jours, les modes opératoires sont différents, les victimes n’ont aucun point commun, à force de trop vouloir en faire, hormis celui d’avoir reçu quelque temps plus tôt une carte postale de Las Vegas, avec une simple date, celle du jour de leur mort.
J’en reste là sur la 4 de couv’, c’était très alléchant, je me suis précipité sur ce bouquin, parce que l’ésotérisme est mon fond de culture, j’adore, alors je me suis jeté dessus.
Et puis à la lecture, j’ai adoré tout ce qui était écrit au moyen âge, exemplaire, on est scotché sur la vie de l’Abbayie, et surtout sur l’enjeu que ça représente, le moine scribe qui passe sa vie à écrire le livre de l’humanité, la date de la mort de tout un chacun, et surtout comment prendre le relais, là on rentre dans l’horreur absolue, malheureusement je ne peux en dire plus, au risque de dévoiler la trame du roman.
Mais… parce qu’il y a un MAIS… le fatras de la zone 51 est inutile à mon avis, le personnage de Will est inconsistant, on s’en fout de ses problèmes perso, il n’alimente à aucune façon le récit, il le ralentit, et le dénouement…pourquoi tant d’artifices pour RIEN.
Un point de départ plus qu’alléchant, et ça devient n’importe quoi, pourquoi devenir Dan Brown, quand on a un réel talent dans l’écriture historique, lisez ce bouquin, pour tous les passages moyenageux, là c’est le septième ciel, un talent.
Dommage, parce que Glen Cooper est un personnage plutôt intéressant.
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