Ne parlons pas d’argent, ça énerve ceux qui n’en ont pas ! Francis BLANCHE
Une prise d’otage, un espace confiné, en l’occurrence un tunnel routier, un braquage… Tout roule sauf pour le SRPJ de LYON qui n’avait jamais rencontré ce cas de figure “à l’américaine”. C’est bien de ça dont il est question. Imaginez un braquage comme dans les films avec Bruce Willis ou Stallone. Des “méchants surarmés”, des flics qui pataugent devant l’inconnu. Un tunnel routier bloqué à l’entrée et à la sortie un jour de départ en vacances. Et les voitures pare-chocs contre pare-chocs coincées à l’intérieur. Des hommes armés qui se font passer pour ce qu’ils ne sont pas, des négociations qui entraînent des morts.
Éric COURTIAL a privilégié la rapidité de l’intrigue. Le lecteur comme un spectateur devant son écran voit défiler les évènements pratiquement en temps réel. Si on accepte le principe on va jusqu’au bout de sa lecture en une traite. Une réserve, l’adrénaline ne se substitue pas à la forme littéraire.
Retrouvez les autres chroniques de romans parus aux Éditions du Caïman :
Le sécateur, Eric Courtial
T’es pas Dieu, petit bonhomme, Philippe Setbon
Cécile et le monsieur d’à côté, Philippe Setbon
Les ombres innocentes, Guillaume Audru
Les Belges reconnaissants, Martine Nougué
Ainsi que l’interview de l’éditeur Jean-Louis Nogaro pour Cross the line.
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