chronique Dora-Suarez In lux limine - Jean-Michel Raffalli

En faisant scintiller notre lumière, nous offrons aux autres la possibilité d’en faire autant. Nelson Mandela

A Marseille, Aurore petite fille de dix ans se meurt doucement dans de terribles souffrances, elle est atteinte d’un mal incurable qui a emporté sa maman peu de temps auparavant. Paul son père sombre dans le désespoir.
Pendant ce temps, Samuel Parish lègue à sa nièce Lucie, un testament bien étrange. En plus d’une immense fortune, elle doit poursuivre son enquête qui, si elle aboutit, devrait bouleverser le monde entier, ses croyances et ses paradigmes. Dès lors, la jeune femme va se lancer dans cette aventure.
Elle sera accompagnée d’amis que le destin aura placés sur sa route. Ils devront faire vite car un camp adverse, dangereux et prêt à tout, est également à la poursuite de cette énigme et ses motivations sont beaucoup moins nobles.
A l’université de Phoenix Arizona, Mina Hopi est une jeune chercheuse en mécanique quantique, passionnée par la complexité de l’univers elle est sur le point de faire une découverte qui remettra en cause les techniques et les sciences actuelles.

 

C’est bien à un voyage ésotérique que nous convie Jean- Michel Raffalli, une quête mystique, au sens propre – qui a trait au divin-.

D’emblée si on veut poursuivre la lecture il faut accepter cette candeur propre aux personnages (à part Paul qui est un homme ruiné psychiquement) qui pourrait être comparée à une sorte de “Club des Cinq” adulte, qui se transformera vite en une épopée beaucoup plus proche d’Alexandre Dumas que d’Enyd Blitton. En effet n’y avait-il pas chez Dumas un curé ayant rendu sa soutane, un exubérant bretteur, un personnage de raison et un personnage dont la fougue n’avait d’égal que sa détermination, sans exclure les traîtres à la solde du pouvoir, le rôle de l’Eglise et le “méchant” suprême ?

C’est une saga qui s’ouvre avec ce volume 1 d’une série intitulée Au seuil de la lumière.

Comme je le disais récemment à une amie, c’est un roman-valise ce qui le rend d’autant plus attractif.

Vous avez aimé  Indiana Jones, Da Vinci Code, Les trois mousquetaires, Bob Morane, La Bible… vous aimerez ce livre et attendrez comme moi le tome 2 pour peut-être encore 400 pages de lecture intense.

Ludovic Francioli