
« Pour combattre des démons, on gagne à faire appel au Diable, lui avait dit un jour un chef de clan en Afghanistan. »
Lander doit se rendre à Paris pour accomplir sa dernière mission. Un objectif très à risques, véritable raison de son retour en France et de son changement d’identité. Pour lui, le compte à rebours est déjà lancé. Mais en chemin, il croise la route de Marie. Une jeune veuve dont l’époux policier s’est « suicidé » il y a quelques années, la laissant seule avec leurs deux enfants et beaucoup trop de questions… Lander a un doute, une intuition… Derrière ce geste désespéré, n’y aurait-il pas la marque du Mal ? Comme les ténébreux agissements de la BAC 96 qui semble avoir mis la ville sous sa coupe ! Implacable et plus enragé qu’un fauve, Lander se lance à corps perdu dans ce combat, bien décidé à faire place nette et à rétablir la vérité !
Lander est une bête de guerre, une machine à tuer pour faire régner « sa » justice » et par la même occasion solder l’addition qui traîne depuis trop longtemps sur les bureaux de la BAC.
Lander c’est Charles Bronson ou Clint Eastwood s’il avait existé il y a maintenant de nombreuses années, maintenant c’est plus Vin Diesel mais il n’en reste pas moins ce héros que parfois nous avions un peu honte d’aimer, ce « vigilante » sans pitié qui nous envahissait de questions « avons nous le droit de faire justice? », « quelle est la limite du meurtre ? ».
Lander balaie toutes ces interrogations les reléguant même au rang de « pudeur de jeunes filles ».
Qu’importe, le train est lancé et personne ne peut l’arrêter. Implacable du début à la fin et comme Lander la lecture est inarrêtable.
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